Soutien à Nordpresse contre Sudpresse

Pour la déontologie du journalisme et l'éthique, vive NORDPRESSE

Je n'accepte pas que mon argent serve de subside à ces "journaliste". C'est tout simplement honteux et inacceptable de la part de la profession de journalisme. Où est la deontonlogie journalistique ?

SudPresse incarne ce que le journalisme peut être de pire, cette presse va à l'encontre de tout ce qui devrait constituer la mission des journalistes: en ouvrant à l'information permettre de mieux appréhender le monde, choisir et exister en société.

Au lieu de ça, elle nourrir les pires instincts voyeustistes

Nordpresse pointe du doigt suffisamment longtemps le manque de déontologie assumé par Sudpresse pour qu'il puisse être considéré comme lanceur d'alerte sans aucune suspicion d'opportunisme . Il se trouve que Sudpresse n'est sensible qu'à une seule chose : l'argent. C'est seulement quand le grand public, sensibilisé par Nordpresse, interpelle les financeurs et sponsors de ce torchon, que Sudpresse répond, non pas au niveau déontologique mais au niveau juridique. C'est une réponse de brute. Il se trouve que le courage de Nordpresse a délié les langues de familles qui ont subi la rapacité de Sudpresse, et que là, Sudpresse ne peut plus cacher la poussière sous le tapis. C'est un acte politique que de dénoncer le mauvaise usage des subventions à la presse, et c'est un acte civique que de pointer du doigt que les sponsors financent le voyeurisme malsain sans même y prêter attention. J'espère que ce combat contre Sudpresse est le dernier, que Sudpresse va complètement changer de ligne éditoriale, et que Nordpresse sera remercié pour sa vigilance et son civisme.

Il faut que cesse cette presse "sensation" basée sur les plus bas instinct des gens !
Les journalistes font partis des métiers les plus malestimés et franchement sudpresse aide beaucoup à ce que ça soit le cas !
Je soutient Nord-Presse dans son combat !

Indignez-vous !
Deux forces s'opposent : une dénonçant les agissements déontologiques discutables de l'autre ouvertement, l'autre de toute évidence en justice.
Mais cela se déroule en grande partie sur le réseau social Facebook, que le plaignant utilise aussi à ses fins, et en tire aussi profit. Malheureusement pour lui, la liberté d'expression et d'action qui découle des réseaux sociaux donne parfois des "retours de manivelles" inespérés, qui peuvent être autant positifs que négatifs, et le résultat obtenu socialement découle de l'action initiale de l'utilisateur et de l'opinion qu'ils donne aux autres lecteurs.
Sans l'indignation de personne(s) comme celle(s) qui publie(nt) sur NordPresse, historiquement peut-être il y aurait encore la peine de mort, les pleins pouvoirs des monarchies et seigneurs, voir pire encore, peut-être serions-nous d'une autre nationalité.
Aussi, on ne peut juger moralement l'accusé sans juger la morale du plaignant. Et à ce que j'ai pu lire de mes yeux à peu de milliers de kilomètres de la Belgique, ça fait juste peur : je pense qu'en tant que simple passionné d'informatique je pourrais rédiger n'importe quel texte tape-à-l’œil pour travailler pour le plaignant, car on ne peut parler de journalisme professionnel.
La presse ne devrait-elle pas promouvoir le travail d'enquête, susciter des passion, pousser le lecteur à l'interrogation sur la société qui nous entoure, informer simplement de manière intègre, déontologie et sans parti-pris, mais aussi avec pudeur vis-à-vis des personnes touchées et leurs proches.
Il est bon que quelques personnes s'en indigne et le fasse savoir haut et fort. Aussi, si aujourd'hui le plaignant se sent lésé, peut-être faudrait-il qui regarde le véritable coupable dans le miroir au réveil.

La liberté de la presse est un droit fondamental destiné à protéger l’information du public. Sudpresse en profite outrancièrement, ils n’ont aucun droit de nier ce droit à autrui, ce d’autant plus lorsque Nordpresse rend davantage service au public qu’eux.
Vincent, le nombre de personnes qui te remercient de ton combat est la preuve que tu sauves des vies. Je n’ose même pas imaginer à quoi ressemblerait un monde où les victimes de Sudpresse ne voient personne se lever pour les défendre.

Diego Esteban, député au Grand Conseil de Genève

Je suis choquée de presque l’entier des articles sudinfo où il relaient des photos d’anonymes décédés au mépris de leur proche et qu’il font croire à leurs lecteurs qu’ils auront accès à des vidéos de viols ou d’agression et régulièrement sur des mineurs.

Cela fait des années que je me dis que la presse est vraiment horrible, que le traitement de l'information ne jure que par le sensationnel et le putaclic. Il faut que ça change et maintenant que, soutenu par tous les chimpanzés que nous sommes, le travail de Vincent paye, nous ne devons rien lâcher et Sudpresse DOIT rendre des comptes. Après tout, ce sont nos impôts qui payent ce genre d'immondices.
Nous sommes plus forts ensemble, nous gagnerons ce combat contre la presse poubelle, la presse vendue, la presse de fond de caniveau.

Je suis de tout coeur derrière toi Vincent !

Jeremyah

Nul ne pensait pouvoir faire pire que la ligne éditoriale de Sudpresse, Vincent Herregat a prouvé le contraire en combinant habilement hypocrisie et egocentrisme. Non content de récupèrer les cas malheureux d'abus de la part de Sudpresse pour sa seule gloriole, il s'est aussi illustré au travers du prêt à penser mièvre qu'il déblatère à longueur de journée aux adolescents attardés qui lui servent d'adeptes. Le procès qui l'attend contre Sudpresse vient ponctuer en apothéose la triste carrière de ce nouveau Laurent Louis. Le neo gourou ne manquera d'ailleurs, pas une dernière fois, dans un flot ininterrompu de larmes pathétiques, d' en appeler à l'aide de tout ceux qu'il n'a eu de cesse de vomir. Vincent, puissent tes frustrations et ton besoin de reconnaissance pathologiques s'éteindre en même temps que ton cher bébé. Puisse ta lutte légitime contre les abus de Sudpresse demeurer et tomber dans de meilleurs mains que les tiennes. RIP Nordpresse, petit ange parti trop tôt. Espérons cette fois que David et Laura ne seront pas oubliés.