Comment est-ce que je peux voir correctement ce que j'écris avec les yeux gorgés de larmes?
De tous les chapitres émouvants que tu as créés, celui-ci est vraiment dur à encaisser. Il est court, mais il est fort! Je savais que Dorémi était atteinte d'une maladie incurable, mais le fait de savoir qu'elle n'avait que 64 ans (P***** QUE 64 ANS!) je suis trop dégouté pour elle!
Personnellement, je pense que la partie la plus touchante, c'est lorsque Eglantine explique à sa mère pourquoi elle a nommé ses filles Poululu, Flori et, pour finir en beauté, Fami. Maintenant, je ne verrai plus les notes de musique de la même façon.
Pour finir, je trouve ça triste que Dorémi culpabilise d'avoir nié l'existence du monde magique pour protéger sa fille. C'est vrai qu'auparavant j'aurais préféré qu'elle s'accroche à sa croyance (qu'elle n'a jamais imposé au monde humain d'ailleurs), mais d'un autre côté, je comprends cette décision. Après tout, j'ai conservé ma passion pour Magical Dorémi secrète durant toute mon adolescence… Protection nécessaire.
A bientôt pour le nouveau chapitre. Et encore merci de faire travailler nos glandes lacrymales...