Salut les pen'tières
Il fut un temps, quand j'étais jeune (oh, ça va, arrêtez de rigoler: moi aussi j'ai été jeune . . . Dans les années 1980), ma mère avait l'habitude de dire, quand elle n'avait pas de nouvelles de ses fils avant de se coucher le soir alors qu'ils étaient partis faire voler leur dragon: "pas de nouvelle, bonne nouvelle". Effectivement, pas de nouvelles des papates, Aurélie a raison, même si j'ai décidé de ne plus lui adresser la parole depuis qu'elle s'est permise de se moquer des canicules lilloises. D'abord, j'avais éxagéré: la canicule commence à 15°, parce qu'on a pas l'habitude, et peut monter jusque 32° (hier, à 14h).
Rien de neuf sur le site des papates, donc ça veut dire qu'on va bientôt avoir une tonne d'informations à lire, et ça, c'est jouissif. Un conseil aux lecteurs assidus: lisez lentement, par petites gorgées, un paragraphe par jour, pour faire durer le plaisir plus longtemps. Je tiens ça de ma longue expérience. Non, rien à voir avec des comportements scabreux (quoique), mais le site se déguste comme un pot de nutella: une cuillère à café par jour, qu'il faut laisser fondre dans la bouche pour en apprécier l'arôme et la saveur avant de se lècher les babines de plaisir. C'est le seul moyen pour éviter la frustration. Technique que, bien évidemment, je suis bien incapable de mettre en oeuvre puisque je dévore tout d'un coup. Le site, pas le nutella. C'est interdit par mon cholestérol.
Alors, chères papates, prenez votre temps pour nous distiller des pages dont vous avez maintenant le secret, accompagnées de photos toujours plus étonnantes: les fidèles sont patients et liront avec une dévotion renouvelée la divine parole venue de l'autre bout du monde.
Tchao à tous les membres du fan'club et aux patates