le livre d'or de Flic et Police Mon Amour

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Richard
"Un boulot à part"
Toujours dans la paperasse après une intervention mais pas un agent administratif,
Souvent à l'écoute pour une main courante mais pas un(e)assistant(e)social(e)
Parfois premier secours sur la voie publique mais pas un pompier,
Maintenant sous le feu ennemi d'une armée de plus en plus dangereuse, mais pas un militaire.
Non, juste un "Flic" fier de son métier, utile pour les citoyens mais de moins en moins respecté !
Et cet irrespect semble venir de toute part, de l'intérieur comme de l'exterieur.
Les blogs j'aime bien les consulter mais laisser des messages c'est pas mon truc. Etant lyonnais, je tombe par hazard sur votre blog suite à "l'affaire Neyret" et je découvre votre 2ème bouquin que je dévorre, trop excéllent!!
Certains trouveront mes propos peut être maladroits (pour les autres métiers cités) mais le flic est le seul civil qui risque sa vie face à une "armée" qui ne defend pas une cause mais qui a un code de deshonneur!
Un boulot vraiment à part !
cedric, flic en surs
Je lis le mot de Monsieur BAZART ex Capitaine de Police, j'adhère!
Actuellement je connais des policiers suspendus, plus à leur sort qu'à leur situation administrative, plus à la sauvegarde de leur vie personnelle ! Je serais moins précautionneux que Mr BAZART, tout simplement que je dénonce ici ouvertement ces manges m.... qui se postent devant nous tous , en te glissant au creux de l'oreille: c est pour calmer la sitation, ne t en fais pas c est pour tous la même chose, signe en bas sinon ca va prendre des proportions inimaginables !!!
Alors quid de la présomption d innocence??
Quelle réhabilitation pour les blanchis?
Rien !!
Tout le monde n'est pas traité de la même manière : un DDSP, un commissaire de police ,un officier , un acma !
La franc maconnerie passerait elle par là??
Amitiés à tous
BAZART Jean-Luc
Je suis capitaine de police en retraite, mais entré par la petite porte dans les CRS en 1968. Je tenais à vous remercier, Marc et vous, les ex, pour cette lettre au Président de la République, concernant la présomption d'innocence. Merci pour les policiers qui n'en bénéficient pas. Merci aussi pour toutes les vérités que vous énoncez pour la défense des policiers. Merci, merci, merci.
jon smoke
Tout simplement bravo :)
Isa
bonjour,
je crois comprendre en lisant votre article "police mon amour" que vous avez laissé votre uniforme au vestiaire...
je vous souhaite de trouver votre chemin, celui qui vous épanouira, qui vous emplira de belles rencontres, de belles expériences, de jolis moments de vie...
et merci d'écrire aussi juste, sur notre rôle souvent ingrat, incompris, mais parfois riche d'apprentissage (je suis ASPTS en DIPJ)
en espérant vous lire encore et encore...
Isabelle
Jean-Michel
Merci Benedicte, merci d'écrire en gras ce que je pensais tout bas. Merci de raviver mes souvenirs de flic. Tout ce qui a été relaté dans "Flic", je l'ai un peu vécu, même si je suis policier dans une peite ville d'un petit pays ! Je me surprend de constater que les problèmes sont les mêmes partout. Enfin merci à vous ("A toi !" Chez nous tous les flics se tutoient)d'avoir fait comprendre au citoyen que nous ne sommes pas des machines et que l'uniforme est habité par un être humain, qui vit avec ses erreurs, ses humeurs et ses sensibilités.
salinas
Bc et flic depuis 22 ans en CRS , je me régale de te lire, chapeau bas.... encore... encore....
willy
C'est le hasard de la navigation internet qui m'a amené sur ce site, ces nombreuses pages de lecture. Et ce fut une très agréable surprise! Merci pour le style captivant, l'humour incisif qui côtoie un réalisme parfois effarant. De bons moments de lecture en perspective (c'est qu'il y en a des pages à lire) :D
doguet laurent
voila, le 1er a ete lu... en 2eme,il est aussi prenant,touchant et choquant que le 2 eme. A quand le 3eme que je sois synchro avec les parutions ? Bravo pour votre grande gueule , votre plume, votre humour et votre capacité a l empathie
salutations motardes
LEO
Comment un être normalement constitué peut il s'épanouir au contact permanent de la souffrance, de la violence et de la misère de notre société ? Un flic n'est qu'un homme, témoin vulnérable et fragile d'un monde en déliquescence. Ce malaise aucune statistique ne pourra le mesurer, il se vit jour après jour et vous consume lentement. Que reste t-il à la fin de tout cela ? Peut être L'envie d'oublier et de renaître à nouveau, pur et naïf comme au premier jour.