170 messages   
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Maxime Sohet
Je soutiens à 100% Nordpresse !!!
David et Laura
Malgré les nombreuses moqueries dont nous faisons l'objet régulièrement sur Nordpresse depuis le décès de notre père. Nous soutenons Nordpresse dans son travail d'intérêt général. Merci pour tout
De Bueger Sylvain
Je soutiens Nordpresse et leur volonté de dénonciation des pratiques audieuses de l'organisme Sudpresse, ayant pu y assister de près de par des proches en deuil harcelés par leurs "journalistes" devant leur propre domicile. Ces pauvres parents quittaient leur maison par le jardin des voisins pour échapper à ces rapaces.
De plus, la volonté d'avoir une presse qualitative et de développer l'esprit critique des lecteurs, un des combats de Nordpresse, est pour moi fondamental dans notre société et est nécessaire.
Albert Dupuis
D'abord je signale que je ne suis pas manipulé par Nordpresse et consort, d'autre part je soutiens à 100% la démarche de norpresse contre sudpresse, je suis outré depuis plusieurs années que nos impôts servent à financer cette presse poubelle qui fait du fric sur le malheur des gens au lieu de faire sérieusement son travail. Je vous souhaite beaucoup de chance, vous avez le potentiel de faire changer les choses, de soigner notre système médiatique malade, je place beaucoup d'espoir en vous, on va le faire, chimpanzé power, courage les gars
Baptiste
Soutien à nordpresse
Arthur
J’ai vu sur Nordpresse bien plus de mots et d’actes pour la déontologie de la presse et contre les fake news que sur n’importe quel autre média. Loin d’un soutien aveugle et fanatique, c’est un soutien conscient de causes dont tout le monde devrait se soucier pour lesquelles Nordpresse informe et agis.
Thomas Sluys
Je soutiens Nordpresse et son combat contre une presse de caniveau qui porte atteinte à la dignité et à l'intelligence à la fois du public et également du métier de journaliste.
Damien Dormal
Total soutien. C'est une honte de subsidier une telle presse.
Berhault
Soutient total à Nordpresse face à la bouillabaisse de Sudpresse.
Étienne Rapidier
Je suis Nordpresse depuis déjà pas mal d'années. J'ai beaucoup d'affection pour cette page, et pour son créateur, qui a mis énormément de sa personne, au risque de se fragiliser, pour porter des idées, une sensibilité, un message. C'est pas facile de faire ça. Et ça sert. On en parle dans les écoles du secondaire à l'université, on cite le site (lulz) dans des mémoires et des thèses, et beaucoup de gens ont commencé à se méfier de ce qu'ils lisaient quand ils ont commencé à lire des histoires de vieux partouzards carolos ou de condamnés à mort qui mangent des bébés (la meilleure époque du site, les vrais sachent). J'ai beaucoup réfléchi avec Nordpresse. Je ne serais pas la même personne aujourd'hui si ce site de réinformation critique n'avait pas existé. Si Sudpresse s'en prend à Nordpresse aujourd'hui, c'est nettement parce qu'ils ne comptent pas remettre en compte leurs pratiques. Malgré des pratiques éthiquement inacceptables jouant avec le seuil de la légalité et abusant d'un laxisme net des organes de contrôle, Sudpresse continue sur sa lancée de détruire peu à peu l'information pour la remplacer par le clic. Si c'était un journal privé, juste un égout à ciel ouvert parmi d'autres, finalement, bah, tant pis hein. Mais c'est un journal subventionné, qui emploie ses subventions pour monétiser le putaclic, la désinformation, les images de drames parfois volées si l'on se fie aux nombreux et alarmants témoignages de victimes de Sudpresse réclamant depuis parfois des années que cesse une politique de harcèlement systématique et de destruction de leur intimité et vie privée. Sudpresse pourrait se remettre en question et évoluer, reconnaitre qu'ils se sont mal comportés. Mais voyant les annonceurs refuser de voir leur marque associée à des titres voyeuristes et indécents, Sudpresse a décidé de s'en prendre à la personne qui symbolise une indignation pourtant généralisée. Pour l'exemple. Puis sans doute aussi juste pour lui faire du mal. Sudpresse montre là tout le cynisme des possédants : on abuse du déséquilibre économique entre une entreprise se finançant notamment avec des fonds publics, et un particulier qui, même victorieux, finira de toute façon fatigué, choqué, appauvri d'un temps et d'une énergie considérable. Appauvri d'une partie de son optimisme aussi. Ce sera toujours une victoire pour Sudpresse, parce que ce sera une nouvelle démonstration de force et d'impunité. Quand t'as du fric, un fric que tu dérives en l'occurrence du public, ton rapport au droit, à la punition, n'est pas le même que celui du tout venant. Cet odieux cynisme ne peut pas continuer. Ce n'est pas Vincent Flibustier qui devrait être trainé devant un tribunal. Ce n'est pas lui qui fait son blé en volant des photos de cadavres et en tournant ses phrases d'accroche sur Facebook de telle manière que l'internaute aura envie de cliquer pour dénicher l'un ou l'autre détail sexuel, pédophile, gore dans l'article. C'est Sudpresse. Faut-il posséder effectivement du contenu de ce type pour pouvoir être accusé de monétiser sa diffusion ? Dans les faits, Sudpresse diffuse l'idée sur les réseaux sociaux qu'ils possèdent ce type de contenu. Moi, j'appelle ça vendre un produit. Vendre un produit illégal, même si on ne détient pas le produit, ça n'est pas illégal en soi ? Si c'est un bête type qui a consacré plusieurs années de sa vie à dénoncer le crime qui est attaqué et pas le criminel qu'il dénonce, c'est que la justice ne fait pas son travail. Et si ça n'est pas le cas, on ne vit pas dans un état de droit.