Salut les pen'tières
Oh! Pétard de pétard!
J'ai comaté ou quoi? Voilà un mois que je n'ai pas écrit, et tellement longtemps que je n'ai pas regardé le site que je viens d'en engouffrer plusieurs morceaux d'un coup. Pas d'indigestion en vue cependant. Mais que s'est-il passé?J'ai dormi? Ah! Non, je sais: ça s'appelle le travail, le boulot, le taff ou le turbin. Vous ne voyez plus de quoi je veux parler? Ben c'est un truc que tu fais tous les jours sauf le week-end, où tu n'as qu'à accomplir la liste des travaux dressée par ton épouse (elle n'est pas là, j'en profite), et qui te laisse pantois quand tu compares, à la fin du mois, le prix qu'on accorde à l'énergie et la passion que tu as su donner. M'enfin, je ne vais pas me plaindre, les vacances arrivent. Comment? Ca non plus vous ne savez plus ce que c'est? J'abandonne, vous verrez bien en rentrant. Ben oui, vous allez finir par rentrer, et bientôt en plus. Ca se sent de plus en plus à mesure des commentaires: "la dernière fois qu'on fait ceci, l'ultime col, etc . . . ). Et puis les bilans qui pointent leur nez, sur les enfants, ces mois en dehors du temps des occidentaux accumulateurs et consommateurs de richesses, sur vous 4, vous 8, et des réflexions émouvantes, voire poignantes . . . arrêtez, euj'va braire, comme on dit par chez nous. N'empêche, quand on s'amuse à remonter jusqu'aux photos de Berlin, de Russie, on mesure le temps passé, on retrouve des découvertes, des étonnements, des émotions, nous aussi. Et puis on dresse aussi notre propre bilan et on se dit que vous nous avez manqué, mais qu'avec tout ce que vous avez réussi à nous envoyer comme énergie, découverte, joie de vivre, on se sent chanceux, vraiment, privilégiés même. Crotte de bique, euj'va pas braire acor!
Allez ter-tous, on vous invoit eun plein' bans'ed bécots à ter-tous, et allez-y pas trop trainasser en ar'venant.
Jidé, du pays des ch'tis, avec des effusions en masse pour tous ceux qui vous ont suivi comme nous.