Livre d'or de Daniel-Louis Seiler

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Gabriel Colomé
Cher Daniel,
Tu vas nous manquer, mais c'est certain que tu vas continuer à écrire sur ta passion: les partis et les cleavages rokkaniens.
Des de Barcelona, una forta abraçada del teu amic,
Amitiés,
Gabriel
DUVAL Christian
La présence de Daniel Louis SEILER à Sciences Po Aix a été un honneur pour l'établissement. La renommée du Professeur de Science Politique a donné à nos formations une lisibilité internationale réelle. La présence de l'ami parmi nous a été un bonheur.
Merci pour tout.
Pr. Christian DUVAL
Pierre Muller
Ton départ à la retraite me donne l'occasion d'évoquer de très bons souvenirs communs : la section 40, nos enseignements à Sciences po et finalement un jury d'agrégation durant lequel j'ai pu mesurer à la fois ta courtoisie, ta gentillesse et ton extraordinaire culture. Sans compter les repas à la Petite Chaise... Je te souhaite beaucoup de bonheur pour ta retraite.
Raul Magni Berton
Cher Daniel, un petit mot pour te rappeler le plaisir que j'ai pris de pouvoir discuter avec toi des grandes théories en sciences politiques aussi bien dans d'austères salles universitaires qu'autour des magrets bien arrosés.
André Donneur
Cher Daniel,
C'est avec beaucoup d'émotion mais aussi de joie que je participe à ce livre d'or en ton honneur. Que de souvenirs depuis notre première rencontre au congrès international de sociologie en 1974. Et depuis ton arrivée à Montréal à notre département à l'UQAM que d'échanges intellectuels et de discussions amicales, souvent autour d'une bonne table, durant toutes ces années!Je me souviens aussi des excellents moments passés ensemble à Lausanne et à Genève et de la fructueuse collaboration intellectuelle qui a continué au fil des années. Même si nous ne nous sommes pas vus récemment, je n'ai cessé de suivre tes travaux. Fructueuse. heureuse et belle retraite, Daniel. Amitiés.
André
Alfio Mastropaolo
Daniel-Louis Seiler est un des plus reconnus politistes contemporains. Renommé comme comparatiste et comme expert des partis politiques, ses nombreux ouvrages resteront comme un témoignage incontournable sur un aspect fondamental des démocraties contemporaines. Mais je ne pourrais jamais oublier ses compétences gastronomiques. Une rencontre avec lui a donc toujours été un double plaisir. Cher Daniel-Louis, je suis certain que ton départ à la retraite ne nous empêchera pas de converser et boire encore ensemble !
andre liebich
un souvenir impérissable de Daniel Seiller durant une grève des profs de l'UQAM expliquant savamment les nombreuses manières de préparer la citrouille (potiron). Un homme aux talents multiples ...
Antoine Roger
Les graines de comparatisme que tu as généreusement semées en Belgique, en Irlande, au Canada, en Suisse et en France ont donné de fort jolies plantes. Tes étudiants et doctorants ? dont j?ai été ? ont observé cette main verte et tenté d?en percer le secret. A défaut d?y parvenir complètement, ils ont pu retenir une leçon : les engrais méthodologiques sont de faible utilité sans un riche terreau épistémologique. L?humus du Centre Emile Durkheim te doit beaucoup. J?espère que tu profiteras de ta retraite pour visiter nos serres bordelaises et jeter un ?il aussi expert que pétillant sur nos jeunes pousses.
Thiébault Jean-Louis
Cher Daniel. Je ne peux pas être à Aix à l'occasion du colloque organisé en ton honneur. Je le regrette beaucoup. Je n'oublie pas que nous sommes, André, Jean-François, toi et moi, à l'origine de la création de la RIPC. Je suis actuellement dans le froid et sous la neige d'Ottawa. J'ai toujours admiré ta culture politique, ton regard sur l'histoire. Tu étais l'un des rares collègues à avoir une profonde connaissance de la vie politique fédérale et provinciale du Canada. La lecture de Lipset nous a rapproché. J'ai aussi le souvenir de discussions sur les clivages de Rokkan. Avec mes amitiés.
Jim Bjorkman
My dear Daniel-Louis! C'est incroyable ... it's impossible to believe that so many decades have passed since we sought to establish IICG/IIPC -- the International Institute for Comparative Government -- and the saga thereof. But rest assured that I have always treasured your clever comparison of my Melanchthon to Jean Blondel's Luther. Just too bad that we didn't actually establish a new religion and that my Institute of Social Studies here in The Hague trumped Lausanne with an offer than I couldn't refuse. Warmest regards & expectations that you will enjoy retirement as much as I do ... which is to say that professors never retire; others just think that they do! Cheers, Shanti & Avanti! ~Jim