Livre d'or

Merci pour ce site fort intéressant. Je suis allée en Tunisie en 2009 et dans les montagnes de Chébika,je suis tombée amoureuse de ce pays. Sur la force et la rudesse du paysage, la lumière qui brillait sur cet oasis de montagne en début mars 2009 était à couper le souffle. J'en suis encore toute émue.
Je retournerai en Tunisie en mars 2011 pour ma plus grande joie.Inchallah! Merci encore pour votre site que je mets dans mes favoris. Je reviendrai vous...

On a raison de dire que le monde est un village. Et surtout qu'Internet est un outil magique de rencontre.
Je trouve magnifique que Gisèle et Lucien aient pu revivre ces moments de leur jeunesse.
Et merci à Evangeline de nous faire signe de si loin.
Joyeuses fêtes à vous.

Evangéline, je revois Mary, elle était jeune et moi aussi et tous les stagiaires de Bir el Bey aussi. Aujourd'hui, les rangs s'éclaircissent/ Mary va entrer dans la litanies de ceux que j'invoque et qui me soutiennent. Nous sommes en communion.

Pour Lucien: Elle s'appelait Mary. C'etait ma soeur ainee. Infirmere et mariee en Suisse, elle est decedee en 2003.
evangelineadams@(chez)yahoo.com

Dans les années 1952-53, j'ai fait des stages de moniteur de colonie de vacances à Bir El Bey et il y avait avec nous la fille du pasteur d'Aïn Draham, celui du village des potiers. Qui est-elle aujourd'hui ? J'ai un excellent souvenir d'elle mais je ne me souviens pas de son nom.
Lucien.

Merci, Evangéline, pour les précisions que votre message apporte à la page qui porte la photo de votre "maison de poupée", je me rends compte que j'ai (encore) fait l'erreur de nommer fersig ce qui est bir, cela m'arrive parfois, pourtant, je ne les confonds pas " physiquement". Grâce à vous, je vais corriger cette erreur. Dois-je comprendre que le pasteur américain qui s'était installé sur le lieu de cette " maison de poupée " avait utilisé des bâtiments déjà construits ? J'avais compris quand j'habitais Aïn Draham qu'il les avait bâtis lui même, mais, presque cinquante ans plus tard, ma mémoire n'est peut-être plus très fidèle à la réalité du moment. voici mon adresse internet, Evangéline, il vous suffira de remplacer chez par l'arobase : gisele.vetillard chez orange.fr, nous pourrons évoquer ec lieu qui est resté cher à nos coeurs. Vous pouvez aussi venir bavarder avec nous sur le forum rattaché à notre site, nous vous y invitons chaleureusement.

J'ai eu le plaisir de decouvrir votre site cette soiree - et meme d'y decouvrir une photo de ma maison. La photo est intitulee "cabanes de bois au pied du Djebel Fersig", mais c'est une erreur. Nous habitions le Debel Bir. La toute petite cabane de bois (devant)etait notre "Maison des Poupees" plus tard transformee en boutique pour la vente de nos poteries. La maison derriere est plus grande qu'elle ne parait sur la photo, nous y avons vecu 19 ans et elle etait construite en dur. Nous avions plusieurs autres batiments dans notre 'hameau' (nommee La Colonie Artisanale) pour acceuillir les colonies de vacances chaque ete, ainsi que d'autres enfants et apprentis tout le long de l'annee.
Je suis retournee a Ain Draham en 1999 et en 2009.
Vous mentionnez Gerard Olivier, enseignant a AD. Il venait rendre visite a mes parents, et je l'ai connu.
J'aurais bien du plaisir a reprendre contacte avec des Ain Dramiens!!!
Evangeline

C'est vraiment excellent, il me faut maintenant découvrir de toute urgence le reste de votre site. J'vais quand même avoir besoin d'un peu de temps pour bien assimiler le tout.

Cher Aïn Drahamien, si vous étiez élève du collège d'Aïn Draham entre 1957 et 1961, vous avez été élève de mon mari, Jean Vétillard, ainsi que celui de Gérard Olivier, d'Ali Haddad et avez eu Monsieur Guedas comme directeur du collège ? En effet, les photos d'Aïn Draham ont été prises par mon mari, entre 1959 et 1966, date à laquelle nous avons quitté Aïn Draham pour Zarzis.

Merci beaucoup . Ce site m'a replongé dans mon Passé pendant 2 heures.
j'ai beaucoup aimé les photos d'AIN DRAHAM. j'y étais comme élève de 57-61. Dommage que ces photos ne sont pas datées , mais elles sont probablement de la même époque.